DING DONG !
GEORGES FEYDEAU/NATALIE ROYER
RÉSUMÉ
Synopis
Partant de la mise en scène filmée en 1969 à la Comédie-Française du Dindon de Georges Feydeau ; Ding Dong ! en propose, 50 ans après, une version furieusement burlesque. Vatelin et sa femme Lucienne s’aiment. Rédillon, un ami du couple, courtise Lucienne depuis des années. Pontagnac, coureur de jupons notoire, a poursuivi Lucienne jusque chez elle et découvre que son mari n’est autre de son ami Vatelin, qui prend la situation avec humour. Tout se gâte quand revient Maggy, une ancienne maîtresse anglaise de Vatelin, qui menace de se suicider s’il lui refuse un rendez-vous Lucienne a toujours juré qu’elle prendrait un amant sitôt prouvée l’infidélité de son mari. La mécanique est en place !
NOTE
Du metteur en scène
Nous allons partir de la version filmée en 1969 et jouée par les comédiens de la Comédie-Française. Ce sera notre base. Il s’agit dans un premier temps, de reproduire cette version de 1969 avec les signes du décor de l’époque et les conventions théâtrales du moment. Reproduction vocale et reproduction corporelle. J’aime passionnément le jeu et le rythme des acteurs de cette version. La théâtralité viendra de ce que cette imitation de style et cette imitation de rythme produira dans le corps des comédiens d’aujourd’hui. Nous allons donc dans le premier acte faire l’éloge de la copie, ou démontrer par cette expérience que l’intonation provoque l’intention, que l’imitation provoque le sentiment, démontrer que la copie amène à la création. Dans l’acte 2 nous démontrerons que la copie peut parfois dépasser l’original ! à force de copier on craque et ça nous emmène ailleurs… Nous ferons des digressions de ci de là. Il y aura des séquences de jeu reproduisant les acteurs de la Comédie-Française, puis nous partirons en lazzi, sur un détail, qui pourra être une réplique, un claquement de porte, une surprise, un cri, un mot d’esprit, une exclamation, une injure, un éclat de rire. Et nous emmènerons petit à petit l’acte 3 vers le chaos final dans un jeu résolument contemporain. Voilà. Nous ne serons pas nombreux, mais nous nous démultiplierons pour jouer tout ce qu’il y a à jouer, et nous traverserons ce dindon…enfin façon de parler… furieusement dynamiques !!!
Natalie Royer
ACTUALITÉS
Autour du spectacle
Pour tout renseignement :
| rbdproductions@scenesblanches.
François Carricano (chargé de diffusion) | francois.carricano@
Carine Ekon (chargée de production) |
DISTRIBUTION
Participants et partenaires
Texte d’après Le Dindon de Georges Feydeau et la mise en scène de Jean Meyer de la Comédie-Française
Mise en scène : Natalie Royer
Scénographie : François Dodet, Natalie Royer, Jean Tartaroli
Lumières : Jean Tartaroli
Costumes : Théâtre national populaire (Villeurbanne)
Musicien : Quentin Allemand
Jeu : Séverine Astel, Heidi Becker-Babel, Renaud Béchet, Pierre Germain, Benoît Martin, Natalie Royer, Jean-Philippe Salério, Christian Taponard
Production Reine Blanche Productions en accord avec Momus Group
Crédit Photos : Florent Perroux, Florian Mignot
Crédit Web : Cédric Bolusset
A la création, le spectacle a été co-produit par Momus Group, Théâtre de Vénissieux, Théâtre Jean Vilar (Bourgoin-Jallieu), Théâtre La Mouche (Saint Genis-Laval), L’arc Scène nationale Le Creusot : Créa-Diff du Groupe des 20 – scènes publiques Auvergne-Rhône-Alpes.
A la création, le spectacle a été soutenu par la région et la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes au titre de l’aide au projet.
DIFFUSION
Décor et Régie
Equipe :
9 interprètes
2 régisseurs
1 administrateur
Voyages / Hébergement / Repas :
11 chambres
10 voyages SNCF
1 camion de transport décors
Repas, petits déjeuners, caterings pour 11 personnes
Observations techniques :
Arrivée des régisseurs à J-2 et de l’équipe artistique accompagnée de l’administrateur à J
Plateau :
Hauteur souhaitée : 3m50
ouverture souhaitée : 10m
profondeur souhaitée : 8m